Isaac et sa mère vivent paisiblement dans leur maison jusqu’au jour où la pieuse mère d’Isaac de foi chrétienne entend « une voix venant du dessus », qui s’apparente à un message de Dieu. Ce dernier lui dit que son fils est corrompu par les péchés et lui demande alors de lui retirer tout ce qui est mauvais pour lui. Sa mère obéit et confisque les jouets, les images et même les vêtements de son enfant. Une fois de plus, la voix retentit, exigeant que le jeune Isaac soit écarté pour de bon de tout ce qui est mauvais dans le monde, sa mère s’exécute et enferme Isaac dans sa chambre. La voix se fait de nouveau entendre et requiert qu’elle lui offre le sacrifice de son fils comme preuve de sa foi. Sa mère se saisit d’un couteau de boucher pour accomplir le souhait divin. Isaac, qui a assisté à la scène, tente alors d’échapper à sa mère en rentrant dans la cave de la maison.
2/10
Introduction :
Faut arrêter de me proposer des jeux, les gens. Vraiment. Je ne suis pas comme vous, hein. Non mais… faut arrêter de me faire perdre mon temps.
Alors oui, je vais énerver les fanboys « ouais, tu comprends pas », » lol T koN », « Nan mais t’es passé à côté de l’essence même du jeu »… NON. Ce à côté de quoi je suis passé, c’est d’une économie de 15€. Donc en ce jour, vous me devez du pognon.
Graphismes :
Moche. Même pour du « pixel art ». En fait, SURTOUT pour du Pixel-Art.
Eh oui, j’ai bien compris que le jeu a un « graphisme enfantain vu que le héros est un gosse et que tout se passe dans son esprit »… mais, juste non quoi ! Juste non !
Parce que… esprit ne veut pas dire dessin. Je ne sais pas dessiner, c’est pas pour autant que je vais imaginer des cacas qui crachent des boules de merde. Et les enfants n’échappent pas à la règle : ils ont un sens de l’esthétique, parce qu’ils sont confrontés à ce qu’ils voient.
Et si vous voulez me balancer un « ouais mais la mère d’Isaac est une dévote, donc il n’a le droit qu’à la bible »… bah dans ce cas, putain le jeu aurait dû ressembler aux icônes religieuses qu’il voit à longueur de journée. Pas à..ça. Ça, c’est l’idée que se fait un adulte sans enfant de l’imagination des gosses. Donc c’est raté. Et c’est moche.
Bande son :
Quelques thèmes qui ne mettent pas dans l’ambiance. Des bruits de pets. Allez crever, merde.
Scénario :
Euh… non ? Je sais que dans les Rogue-like le scénario n’est pas super important ; mais quand même… Dead Cells, Risk of Rain, For the King, Rogue Legacy, Darkess Fucking Dungeon ! Tous ont un scénario juste excellent, et pourtant sont de la même catégorie. En fait, tous sont mieux, sur tout. Sans exception.
Ici bah… voilà. Dieu dit à la mère d’Isaac de le tuer. Il se cache dans le sous-sol et arrive au purgatoire. Sans rire, vous voyez où ça veut en venir ou pas ? Suspens – 100, les gars.
Gameplay :
Piou piou piou. Ça c’est des larmes. Et ça c’est du caca. Piou piou piou, le monstre il fait des prouts. Piou piou piou ah je suis mort sur le boss et je recommence.
Merde… c’est plat. Aucune subtilité dans le gameplay, aucune réelle difficulté. Un jeu taillé pour faire du speedrun, et c’est tout. Sauf que je déteste ça.
Conclusion :
The Binding of Isaac fait partie de ces jeux qui ont été encensés par la critique et les joueurs comme le nouvel eldorado du jeu-vidéo. Mais c’est de la bonne grosse merde bien puante. Chiant à l’extrême, sans aucune once de fun, il ne tient pas une seconde la comparaison face aux milliers de Rogue-like indés qui pointent le bout de leur nez chaque année. Allez, next. Je vais pas m’emmerder avec cette bouse plus longtemps. D’ailleurs, j’ai un jeu à vendre sur Vita, pour ceux que ça intéresse.
0/10
De ce que j’en lis et ce que j’en vois, beurk… C’est quoi ce trailer dégueulasse ? C’est censé être un enfant ou un bébé ? La différence est de taille…
Je rebondis sur la chronique de Farrel : un enfant a une imagination structurée. Il faut croire que le concepteur n’est pas père, effectivement.
Autre détail qui a son importance : une bigote ne portera pas de rouge, associé à la couleur de Satan, encore moins des talons aiguilles de cette couleur…
Il n’arrive pas à la cheville de Mad Father qui dépeint des horreurs bien mieux amenées.