Orgies Barbares

Auteur : Erich Hartmann

Date de publication : 02 Décembre 2013

Date de lecture : Décembre 2019

Genre/Thème : Érotique

Nombre de chapitres/volumes lus : 3

Au cœur des Terres Légendaires des Temps Jadis, Orgies barbares narre les aventures de sorcières, mages, mercenaires, inquisiteurs, créatures maléfiques, voleurs et autres brigands, à la recherche de justice ou de fortune selon leurs prédispositions. Tous ont un point commun : ils considèrent que le pouvoir des passions érotiques est une arme bien plus puissante qu’un sortilège ou une épée acérée. Sous formes d’histoires courtes qui parodient les romans moyenâgeux et d’heroic-fantasy, s’inspirant des contes populaires, des démons, princesses, ogres et autres êtres démoniaques, donnent la réplique aux personnages récurrents de l’univers des Orgies Barbares. Ces histoires fortement teintées d’érotisme comportent une bonne dose d’humour. Ce premier volume introduit trois des personnages (que l’on retrouvera dans les autres volumes de la série) : Yevlen, charmante inquisitrice préférant résoudre ses enquêtes avec une bonne leçon plutôt qu’avec un fer rougi. Zoia, ravissante guerrière des Terres du Nord, curieuse de tout connaître des coutumes des peuples qu’elle rencontre. La Voleuse, séduisante et énigmatique, venue des Terres Orientales, dont on ignore jusqu’au nom mais que l’on sait experte pour user de ses charmes exotiques afin de toucher aux trésors les mieux gardés. Ces trois personnages ouvrent le ballet des Orgies Barbares par 10 historiettes délicieuses.

0/10

   Pas lu.

5/10

        La couverture m’a interpellée. Le résumé m’a laissé penser que je trouverais là une bd peu commune, à l’érotisme inventif. Alors certes, c’est original… mais passé les 30, 40 premières pages, tout devient prétexte à la baise sans que le scénario conserve sa cohérence.

       Je vais souligner le point qui m’a vraiment gênée : l’auteur ne connaît visiblement pas le corps féminin : la barbare urine par le vagin. J’ai bugué en voyant ça. Donc, pour les néophytes : les femmes urinent par le méat qui se situe près du clitoris. Oui, je vous assure que ça sort du texte quand on voit ça…

 

       Hormis ce gros point, les dessins sont très jolis… du moins les femmes. Les hommes sont dégueulasses. À croire que monsieur n’a pas pensé que des filles liraient son œuvre. Eh bien si, j’ai décidé de sortir de ma zone de confort. Je ne lis jamais d’érotique, donc bon…

 

       Je relève une passion évidente pour le crade. Énormément de scènes où les femmes font des fellations après avoir été sodomisées.

       Je ne retiens qu’une histoire qui m’a vraiment plu : celle de l’inquisitrice avec la succube. C’était très sensuel (en omettant le langage cru, évidemment), surtout l’idée des deux queues, capables de satisfaire ces dames en même temps. Au Japon, on appelle ça le futanari, ça a beaucoup de succès car l’incarnation des deux genres émoustille l’imagination. Là, en l’occurrence, la succube avait deux espèces de tentacules qui sortaient de son coccyx, un hommage au Japon évident.

       J’ai lu quelques hentais par le passé, mais jamais de bd éros. Ce fut donc une découverte sympathique dans la globalité.

Extraits

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