Médicis : Les Maîtres de Florence

Date de sortie : Octobre 2016

Date de visionnage : Janvier 2019

Langue : Français

Genre : Historique

   Florence, XVème siècle. Giovanni de Medicis, père fondateur de la dynastie, décède dans de mystérieuses circonstances… Sa colossale fortune et la banque familiale reviennent alors à son ainé Cosimo. Ce dernier a appris à la dure à mettre ses ambitions artistiques de côté pour reprendre le flambeau de l’entreprise et survivre face aux nombreuses menaces qui entourent la banque. Il va devoir déjouer les complots et les conspirations des représentants des grands pouvoirs mais aussi mener une lutte acharnée pour contenir les rivalités qui menacent de déchirer sa famille…

10/10

   Gros, gros coup de cœur pour cette première saison de la série « Médicis ». Excellente du début à la fin, elle nous impose une tension intense dès les premiers instants en nous donnant tout ce qu’on aimerait voir dans n’importe quelle production moderne : des acteurs cohérents et à fond dans leur rôle ; des musiques excellentes (bien que la BO soit pratiquement impossible à trouver), un scénario juste excellent et totalement prenant, avec son lot de cliffhangers et de surprises…

   En bref, une très très bonne série, qui a de bonne chance de figurer dans le top.

10/10

       Premier coup de cœur Série de l’année. Médicis nous entraîne au cœur de la Renaissance italienne avec son lot d’intrigues et de musiques exceptionnelles. L’imagerie est soignée, les rebondissements tiennent en haleine. Les acteurs sont « vivants ». Bon, c’est Richard Madden qui joue le rôle de Cosimo de Médicis. Forcément, ça aguiche. C’est un excellent acteur, investi, qui instille des émotions très fortes.

   Concernant l’identité de l’assassin de son père, j’ai eu quelques doutes, mais c’était infime, car c’est le protagoniste qui a le plus mauvais mobile ! Donc oui, grosse surprise. N’essayez pas de tirer de conclusions hâtives, cette série vous surprendra jusqu’au bout.

 

      Cosimo fait passer l’argent avant l’amour, c’est assez déstabilisant. Son père l’a bien formaté. A contrario, Lorenzo qui n’est pas versé dans l’art, a conservé un semblant d’humanité. Il ne s’est pas remarié après le départ de son amante. Son cadet a accepté d’épouser Contessina pour satisfaire son père, qui voyait là une opportunité. Il a dû accepté le départ de son premier amour, éloignée par l’ukase de Giovanni. Oublier sa fibre artistique. Devenir ce que l’on attendait de lui. C’est le personnage le plus intéressant de la série qui réserve son lot de surprises.

 

      J’ai vraiment voyagé, les complots sont excellents. On soupçonne tout le monde, on se demande comment ça va évoluer. Enfin une série historique qui ne nous fait pas chier ! Bon, j’avais aimé le début de Borgia, mais je me suis lassée à force. Espérons que la 2ème soit aussi extraordinaire.

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