J’ai commencé à lire du Brussolo à 11 ans avec « Le Château des Poisons » suivi de « L’Armure de Vengeance ». Un peu tôt me direz-vous, mais je ne suis pas comme les autres après tout.
Je chronique depuis quelques années à peine, aussi, les ¾ de ce que j’ai aimé ne figurent pas dans ce Blog. Je le précise, car Brussolo fait partie de mes auteurs fétiches au sommet du panier, il a également influencé ma plume, donc oui, il occupe une place prépondérante.
Ce roman-ci a été rédigé en 1986, une époque où je suppose, il n’avait pas autant de pression ?
Il est vraiment bon. Glauque à souhait, il nous entraîne dans une demeure maudite qui réclame un sacrifice à la date fatidique de la mort de Van Karkersh.
La plume est très fluide, le vocabulaire riche, l’immersion excellente. En bref, du vrai Brussolo comme on l’aime avec toute l’obscurité inhérente à son univers.