Le jour où j’ai appris à vivre

Auteur : Laurent Gounelle

Date de publication : 06 Octobre 2014

Date de lecture : Décembre 2019

Genre/Thème : Développement personnel, Philosophie, Spiritualité

Nombre de pages : 288

     Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire, vous auriez préféré ne pas l’entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.

     C’est ce qui va arriver à Jonathan. À la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d’expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie…

Pas de note
0/10

   Pas lu.

7/10

        J’aime beaucoup les livres de développement personnel. Je ne connaissais pas cet auteur, c’est une amie qui m’a prêté ce livre et j’avoue avoir apprécié ma lecture dans l’ensemble.

       Bon, il y a des erreurs de temps qui sortent un peu du texte, toutefois, les messages sont très forts. J’ai beaucoup aimé les exemples ésotériques cités, par exemple le piment et le fenouil qui démontrent que nous sommes tous connectés. Je connais le champ morphique d’une autre façon, je ne lui avais jamais donné ce nom. Mais c’est amusant de voir qu’on nomme différemment ces choses-là, selon les individus.

       Ça se lit très vite, il y a beaucoup d’amour à la clé. Par contre je n’ai pas du tout aimé la finalité. Parce qu’enseigner autant de belles choses, sur la base d’un mensonge… non. Ceux qui l’ont lu comprendront.

Extraits

     « La lutte quotidienne reprit ; la vie avait juste perdu la saveur qu’elle avait pu revêtir, saveur qu’il n’avait jamais songé à apprécier auparavant, mais que la perte anoblissait a posteriori. On ne réalise la valeur de la vie que lorsqu’elle est menacée. »

 

     « Travailler sans cesse, se débattre dans les difficultés, en attendant le week-end pour assouvir dans les magasins les quelques désirs que la société avait réussi à faire émerger en lui, et ressentir alors une infime satisfaction qui ne durait pas. Puis travailler encore pour pouvoir recommencer le week-end suivant. La vie n’était-elle qu’une alternance d’acharnement et de plaisirs futiles et éphémères ? »

 

     « – Cherche le divin en toi plutôt que le diable chez les autres.

     Jonathan la fixa quelques instants, un peu vexé.

     – Le divin en moi ? Je croyais qu’au fond de nous, il y avait le péché…

     – Ça c’est peut-être la pire de toutes les interprétations qu’on ait pu faire. Quand je pense aux ravages qua ça a occasionnés dans les esprits… On en subit encore les conséquences aujourd’hui… »

Fermer le menu