L’Atelier des Sorciers

Auteure : Kamome Shirahama

Date de publication : 2016

Date de lecture : 2018/2019

Langue : Français

Genre/Thème : Sorcellerie, Apprentissage, Slice of Life

Nombre de volumes lus : 3

   Coco a toujours été passionnée par la magie. Hélas, les seules personnes habilitées à la pratiquer sont les sorciers. C’est un don qu’ils obtiennent à la naissance et qu’ils protègent jalousement.

   Un jour, un sorcier du nom de Kieffrey arrive dans le village de Coco et c’est en le voyant à l’œuvre qu’elle comprend la véritable nature de la magie : elle se dessine ! À partir de cet instant, Coco va découvrir un monde merveilleux dont elle ne soupçonnait pas l’existence…

7/10

   Je n’ai lu que le premier tome de ce manga. Sympathique au demeurant, il m’a beaucoup fait penser à Little Witch Academia… mais en tellement moins bon.  

   Sinon, vous ne trouvez pas que cette font est vachement jolie ?

   Hum… reprenons. Joli et bien dessiné, L’Atelier des Sorciers se lit rapidement, et s’apprécie également dès les premiers instants grâce à son côté léger et  onirique. À conseiller aux amateurs, donc… si vous n’avez pas lu Little Witch Academia. Je vous ai dit combien j’aimais ça ?

10/10

       Un univers de Fantasy très créatif, mignon, avec un coup de crayon vraiment joli. Voilà les 3 points essentiels qui donnent envie de s’y intéresser.

      Après avoir bouclé le 3ème volume, je peux rédiger ma chronique il me semble. Alors, l’univers est vaste, très imaginatif. Les Sorciers se servent d’encre spéciale et de papier pour tracer leurs sorts, en se servant de la logique. Des flèches plus ou moins grandes pour l’intensité, etc…

      Kieffrey choisit Coco comme apprentie pour remonter la piste de la Confrérie du Capuchon. Ils utilisent la Magie interdite et il aimerait savoir pourquoi ils ont impliqué Coco dans leurs affaires.

 

      L’ambiance est chaleureuse. C’est le mot qui me vient à l’esprit. On suit leur quotidien, leur apprentissage, des décors magnifiques avec ce grain si singulier qui confère de l’onirisme à toutes les planches. Le scénario happe, le monde plus encore. On a envie de vivre avec eux, découvrir un peu plus de sorts, les pratiquer et rire avec eux.

      Les personnages sont soignés, certains ont des tenues classiques, mais le cachet les rend spéciaux. C’est une pépite à ne pas laisser passer.

Extraits

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