Jamais sans un Chat

Auteure : Gwen Cooper

Date de publication : 06 Novembre 2019

Genre/Thème : Slice of Life, Humour, Chats,

Nombre de pages : 304

Résumé :

 

     Élevée dans une famille  » à chiens « , Gwen n’y connaît vraiment rien en chats. Mais lorsqu’elle trouve dans la rue un chaton abandonné, déshydraté et voué à une mort certaine, c’est le déclic : elle l’adopte et tombe amoureuse de la gente féline.

     Depuis, Gwen a toujours vécu avec une ribambelle de chats. Du matou collant et pas très débrouillard à la diva qui se promène dans la vie telle une artiste, en passant par le félin grincheux ou Homère le chat aveugle et philosophe, Gwen raconte sa vie remplie d’amour.

     Auprès de ses amis à quatre pattes, elle a appris une sagesse qu’elle n’a jamais trouvée chez les humains. Avec chacun de ses chats, Gwen a noué des amitiés qui l’ont guidée sur le chemin de la vie. Et lui ont enseigné à profiter de l’instant présent. À mieux vivre, tout simplement.

L'avis de Misha

NOTE 9/10

Des anecdotes sur nos amis les chats, drôles et attachantes !

L'avis de Farrel

NOTE -/10

On aime

  • Les anecdotes de tous ces minets !
  • L'humour omniprésent.

On aime moins

  • Le laxisme de Gwen qui laisse tout passer.

On aime

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On aime moins

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Extraits :

     « Le ronronnement sonore de Pandy était un vibrato profond et intensément heureux qui s’enfonçait dans ma poitrine et résonnait à travers tout mon corps tandis que je lui caressais le dos ou lui grattais le menton distraitement, quand je ne tournais pas les pages de mon livre. Si me laissais trop absorber par ma lecture et que j’omettais de la caresser pendant quelques minutes, Pandy cognait sa tête contre ma main ou posait doucement sa patte sur mon épaule jusqu’à ce que les caresses reprennent. »

 

     « Si je fais un saut à l’épicerie du coin, à quelques dizaines de mètres à peine de la maison, pour aller acheter une canette de soda, Clayton et Fanny se précipitent à la porte pour m’accueillir quand je rentre, comme si je revenais à la maison après avoir passé des années à la guerre. »

 

     « (Homère, comme le lui imposait la logique féline, considérait toujours une porte de toilettes fermée comme un affront personnel.) »

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