Je dois rédiger cette chronique depuis pas mal de temps… Étant constamment débordée, j’ai oublié. 🙁
Nous pénétrons dans un univers de fantasy sympathique avec des Nains, des Volnyrs et autres créatures créées par l’auteur. L’héroïne est une jeune femme blessée qui, après avoir perdue sa meilleure amie, refuse de se lier à qui que ce soit. Mais c’est sans compter sur les compagnons qui vont se joindre à sa quête.
L’écriture est assez maladroite, le vocabulaire manque à l’appel, c’est une grosse lacune. On comprend ce que Seiki veut dire, mais certaines tournures seraient plus appropriées.
Hormis ce gros bémol, l’aventure est plutôt sympathique. Mon moment préféré reste l’entretien avec son père, quand il coupe du bois. Rien d’épique, ça ancre dans le quotidien, une séquence de la vie courante.
Je dénombre trop de combats, ce qui lasse un peu, tout comme Naruto. « Je suis plus fort que le méchant précédent ! » C’est prévisible, mais on sent que Seiki aime ce qu’il fait. Il n’écrit pas pour se la jouer, il a la passion et je l’encourage pour cela. Ne reste que l’expérience qui, une fois acquise, nous entraînera avec plus de plaisir dans son univers.
Une quête sympathique pour tous les amateurs de fantasy.